Sorgin-orratz bat egongelan
ANNE-LAURE GARICOIX
VERNISSAGE
Dimanche 15 décembre à 15h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
L’association la réciproque poursuit ses rendez-vous à la Maison Gamboia entre des artistes plasticien·nes, des danseur·euses, chorégraphes, commédien·nes et musicien·nes.
Pour cette nouvelle saison, nous invitons l’artiste plasticienne et autrice Anne-Laure Garicoix.
Pour la première fois, l’artiste expérimente une installation dans des espaces domestiques, où se répondent des volumes en céramique, des dessins, des peintures, en partie suspendu·es ou peut-être en lévitation. Tout autant de mondes mouvants de poésie.
Lors d'un premier rendez-vous cet hiver, nous vous invitons à découvrir l’installation Sorgin-orratz bat egongelan en présence de l’artiste, suivi d'une présentation de ses éditions limitées.
Puis au printemps prochain, nous vous donnerons rendez-vous pour une lecture performée; un format inédit auquel se greffera une collaboration avec d’autres artistes.
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En partant de ses recherches et du nom de la maison gamboia, signifiant courbe de rivière, Anne-Laure Garicoix convoque "les éléments qui entourent le lieu de vie, l’eau et la terre." L’imaginaire de l’artiste génère "des mythes qui évoquent ce que retienne et abrite les murs d’une maison, les esprits, les fantômes, les transformations, les vies passées et celles en devenir." Par associations d’images et par intérêt pour les multiples sens des mots, est apparue la figure de la libellule.
Sorgin-orratz bat egongelan traduit en français par une libellule dans le salon ou en décortiquant chaque mot l’aiguille de la sorcière dans le salon, est une invitation à traverser des mondes-paysages habités par des couleurs, des silhouettes qui veillent aux fenêtres et dont la lumière arrive presque à percer leurs histoires.
Biographie de l'artiste
Ma pratique traverse plus largement la peinture et le dessin dans laquelle se croise étroitement les frontières entre picturalité et approches graphiques. Je cherche par l’usage des mots des associations d’idées que je déploie sous la forme de paysages vifs et mouvants, inspirés de récits reliés à la Terre, aux éléments; des surfaces où fusionnent et se tissent des corps et des formes organiques qui oscillent entre recouvrement et dévoilement.
À ces deux disciplines régulières vient s’ajouter celle de l’écriture, l’écriture par une approche de la forme poétique mais aussi celle d’un langage graphique à investir dans les images.
J'ai été invitée en 2023 par Le Second Jeudi pour le projet éditorial d’un numéro des cahiers de la Villa Madeleine.
Dernièrement j'ai publié deux auto-éditions, l’une est un recueil de poésie et de dessins Continent ovale édité en 2023, l’autre est la parution en 2024 d’une édition limitée, À l’ombre des vies, fragments d’un discours amoureux après la mort, un objet-livre réalisé à partir d’une série de dessins imprimés et d’une partie sérigraphiée en collaboration avec la graphiste et illustratrice Edith Mercier.
Certains de mes textes sont visibles dans des revues littéraires, telles que la revue la Piccioletta Barca ou encore la revue Miroir. Je collabore également avec des maisons d’édition telles que Exopotamie, Cambourakis ou encore Les trois petites truites, par des propositions d’images pour des couvertures de livres de poésie.
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Anne-Laure Garicoix est artiste plasticienne, diplômée de l'École supérieure des beaux-arts de Nantes, vit et travaille à Bayonne et fait partie des ateliers de la Villa Madeleine, à Boucau. Elle enseigne à l’École Supérieure d’Art Pays-Basque.
www.instagram.com/annelauregaricoix/
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Sorgin-orratz bat egongelan reçoit en partie, le soutien de la Communauté d'Agglomération Pays basque dans le cadre du plan de relance culturel, Berpiztu.
Affiche par Édith Mercier
Soinu beilaldiak I les veillées sonores
urriaren 11, 12, 13an I 11,12,13 octobre
Hazparnen I Hasparren
Ateliers, projections, discussions,
performances, concerts.
Veiller, c’est s’occuper en attendant les luttes, avait écrit Louise Michel. L’état de veille nécessite de ne pas s'endormir ; il faut être à l’écoute, faire circuler les histoires, chercher un langage qui rassemble. Peut-être est-ce aussi l’occasion de préparer l’action, car la veille suggère de ne pas accepter un état de fait, de résister. « Les veillées sonores », portées par l’association la réciproque, réunissent artistes, philosophes, musicien·ne·s, habitant·e·s, étudiant·e·s, afin de faire circuler les savoirs et prendre la parole autour des enjeux d’un territoire transfrontalier, d’un lieu de passage, de circulation, de migration, d’accueil, d’hospitalité et de revendications qui résonnent, à Hasparren comme ailleurs. La voix peut être chuchotée, hurlée, chantée, elle peut être parole d’attente, de mémoire comme d’histoires drôles, s’exprimer en groupe. Les formes de veille seront variées pour tenter de suivre les nuances des voix : ateliers, projections, discussions, performances, concerts.
Programme imaginé par
Sophie Lapalu et Maxime Morel
Les veillées sonores reçoivent les soutiens de la Communauté d'Agglomération Pays basque, du Département des Pyrénées-Atlantiques, et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de la Nouvelle Aquitaine.
VENDREDI 11 OCTOBRE
10h-17h
Veillée diurne, refaire le monde
Atelier d’écriture et d’images
Par le Collectif Bientôt Fini composé de Calypso Debrot, Lucie Schneider, Lucile Genin, Maya Paules, Clémentine Beth.
Maison Gamboia
Cet atelier de réflexion et de création collective invite à prendre part à la fabrication de récits autour de futurs désirables. De l'écriture à la gravure en passant par la photographie, le dessin ou la vidéo, nous créerons des formes poétiques de langage mêlant mots et images.
19h-21h
Urpean Lurra - Terre sous l'eau, 2019, 50 min 592 Metroz Goiti - 592 mètres au-dessus, 2018, 24 minProjection & rencontre
Maddi Barber
Cinéma Haritz Barne I 4 euros
Ce diptyque cinématographique aborde un territoire englouti par les eaux sur les versants des Pyrénées, en Navarre. Des rêves, des archives militantes, une bergère et un garde forestier, des animaux et des arbres nous entraînent dans le deuil collectif d'un territoire englouti par les eaux.
SAMEDI 12 OCTOBRE
10h-13h
Veillée diurne, refaire le monde
Performance participative
Textes à partager, colporter, à crier
Par le Collectif Bientôt Fini composé de Calypso Debrot, Lucie Schneider, Lucile Genin, Maya Paules, Clémentine Beth.
Sur la place du marché, vous êtes invité·es à rejoindre le collectif Bientôt Fini dans une performance collective qui s’appuiera sur les formes imprimées et textes à crier fabriqués lors de l’atelier : billets poétiques, tracts, affiches, lettres, pages de une, cartes postales
10h-17h
P)ercer, la nuit
Atelier d’écriture et de chant
Écriture d'une partition à plusieurs voix et gestes
Par Loreto Martinez Troncoso
Maison Gamboia
Le désir de cet atelier est de créer collectivement une situation d’écoute pour veiller notre nuit. L’artiste propose d’écrire ensemble une partition traversée de différents rythmes et intensités que nous interpréterons avec nos voix, nos souffles, nos corps-peaux durant la nuit.
10h-17h
Atelier d’écriture d’antisèche et de fabrication de cachettes
Mauvais élève
Reda Boussella
Maison Gamboia
En partant de la symbolique de l’anti-sèche, avec humour et ingéniosité, l’artiste vous invite à imaginer et à fabriquer des procédés de dissimulation de textes et de cachettes. Un moyen de partager des savoirs, des messages, et de déjouer la surveillance, le contrôle.
18h-19h
Performance
Bertso Saio
Poésie improvisée
Maddi Ane Txoperena Iribarren, Haira Aizpurua Ibargarai, Marga Berra Zubieta
Maison Gamboia
Maddi Ane Txoperena Iribarren et Haira Aizpurua Ibargarai improviseront des bertso, vers chantés, rimés et mesurés en langue basque en répondant à des sujets donnés par la gai-emaile Marga Berra Zubieta. Les thèmes abordés feront écho aux engagements portés par les veillées sonores.
19h30-20h30
Concert
BAHEZ
Chant & Pandero
Maison Gamboia
Participation libre à partir de 10 euros pour la soirée.
BAHEZ est un collectif de chanteuses et joueuses de pandero, ancrées dans les musiques populaires actuelles héritées du Pays-Basque. Nous vous invitons à danser aux voix et aux percussions de 14 femmes pour faire renaître une tradition qui résonne au plus proche de nous tous.tes.
22h-02h
Veiller la nuit
Performance collective et scène ouverte
Écoute, récits, sons, chant, lectures
Par Loreto Martinez Troncoso
Maison Gamboia
Interprétation collective de la partition “P)ercer, la nuit” créée durant l’atelier.
Scène ouverte “Veiller, la nuit”, une invitation à venir partager vos lectures, vos musiques, vos histoires, vos récits personnels ou racontés/collectés, vos image-rie-s, vos sensations, vos émotions qui vous évoquent la nuit.
Possibilité de dormir sur place.
DIMANCHE 13 OCTOBRE
10h-12h
Petit-déjeuner collectif performé
Mauvais élève
Reda Boussella
Maison Gamboia
L’antisèche est un véritable outil antisystème. La pompe est souvent ingénieuse, burlesque et immorale. Il existe tout un savoir et une transmission, cet aspect pirate est commun à des pratiques résistantes. Venez découvrir les textes dissimulés et les cachettes fabriquées lors de l’atelier de la veille, autour d’un petit-déjeuner performé.
14h-15h30
Conférence et table ronde
Outrepasser la frontière.
Présentation des recherches de l’artiste Cynthia Montier et du philosophe Jean Cristofol suivie d’une discussion animée par Sophie Lapalu & Maxime Morel
Maison Gamboia
Comment les pratiques et les usages de l'espace ouvrent-elles sur des façons de penser et de vivre autrement les processus de territorialisation ? L’art peut-il s’emparer du droit d’auteur.ice, fondé par un état délimité par les frontières, afin d’assurer la présence de l'artiste en exil sur le sol français ?
16h-17h30
Table ronde
Pratiques artistiques et engagements
Avec les artistes invité·es :
Collectif bientôt fini (Calypso Debrot, Lucile Genin, Clémentine Beth, Lucie Schneider, Maya Paules) Loreto Martinez Troncoso, Reda Boussella,
animée par Sophie Lapalu & Maxime Morel
Maison Gamboia
18h-19h30
Projection
Moi aussi j’aime la politique, 2022, 58 min
Un film de Marie Voignier, réalisé dans le cadre d’une action Nouveaux commanditaires (médiation-production thankyouforcoming)
Maison Gamboia
Un groupe de citoyen·nes qui mènent des actions d’accueil des exilé·es passant la frontière franco-italienne dans la Vallée de la Roya, ont invité l’artiste Marie Voignier à penser un film qui se saisisse des notions d’accueil et d’hospitalité. D’un témoignage à l’autre, se dessine un film sur le mouvement, la géographie, et sur ce qui nous meut intérieurement.
Informations pratiques
Ateliers, performances collectives à partir de 7 ans, participation libre
Table ronde, projection, participation libre
Cinéma, tout public, 4 euros
Bertso saio + Bahez, tout public, 10 euros
Petite restauration et buvette sur place, au profit d'associations solidaires.
Inscription aux ateliers par mail contact@lareciproque.com ou par téléphone au 06 64 66 94 91
Adresse : 50 rue Pierre Broussain, Hasparren.
Vous pouvez vous garer au parking Harana, à 5 minutes à pied de la Maison Gamboia.
Petit théâtre II, Raphaël Larre, 2023
Raphaël Larre dessine, peint des formes aléatoires de jeu de rencontres hasardeuses.
Son travail consiste à se réapproprier des chutes de papiers, cartons, boites qu’il assemble entre-elles. Tantôt par le volume et/ou tantôt par la peinture, ces compositions se rapprochent du collage dadaïste, comme celui de Jean Arp, qualifié « selon les lois du hasard ».
L’artiste imagine pour les espaces de nuit de la maison, une série de peintures qui joue une composition de formes qu’il détourne et qu’il recompose. Pour les espaces de vie commune, il utilise des chutes de cartons qui laissent deviner les gestes de peinture s’accoudant contre un mur. Tel un décor qui accueille un petit théâtre, point de départ de la scène de jeu.
Les chutes de carton seront imaginées à échelle humaine et du lieu, de façon à faire vivre ces jeux de formes. Prenant en compte l’espace domestique de la Maison Gamboia : ouvertures et fermetures des volets, rez-de-chaussée et étages, couloirs et chambres, répétitions de gestes quotidiens, ces formes simples seront activées dans un rythme et une chorégraphie pensée collectivement. De façon bricolée, burlesque, abstraite et à l’image du Ballet Triadique d’Oskar Schlemmer et Hannes Winkler ou encore de la pièce Das mechanische Ballet de Frio Mundo Frio, la Maison Gamboia sera un terrain de jeu pour donner vie à leur travail par le corps, le geste et le son.
Extrait de texte, Raphaël Larre.
L’association la réciproque poursuit ses rendez-vous à la Maison Gamboia entre des artistes plasticien·nes, des danseur·euses, chorégraphes, commédien·nes et musicien·nes.
Dans le prolongement de l'installation Scènes de jeu de l'artiste plasticien Raphaël Larre dans les espaces de la maison, nous invitons l’artiste chorégraphique Arantxa Lannes, et le musicien et compositeur Ander Fernandez à travailler ensemble autour du mouvement et des sonorités.
Nous vous invitons à découvrir la restitution de leur travail d'expérimentation,
le samedi 27 juillet à 16h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
Nous vous accueillerons à partir de 15h30.
La représentation sera suivie d’une rencontre avec les artistes.
RUN workshop
Atelier botanique
Petit coussin
avec Susan Cianciolo
Artiste et designer
Composition de chutes de tissus
Impression de fleurs fraîches au pochoir
Garnissage aux herbes sèches
Méditation & déjeuner sur l'herbe.
le jeudi 11 juillet
de 12h30 à 16h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
30 euros, déjeuner et matériels compris.
Sur réservation, places limitées.
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Depuis vingt ans, Susan Cianciolo évolue entre les pratiques et les formes – de la mode à l’artisanat, de la performance au cinéma.
Pionnière dans l'utilisation de matériaux glanés, elle crée une œuvre qui échappe volontairement à toute catégorisation, exploitant les fausses dichotomies entre construction et déconstruction, art et design, événement et document.
Invitation RUN workshop, Susan Cianciolo, 2024.
Chemin montant dans les hautes herbes
Programme de jardin qui s’engage à relier les arts et les sciences autour du vivant, à œuvrer pour le lien social et l’inclusion, ainsi qu’à expérimenter une forme alternative de pédagogie.
2023 / 2025
Pays basque
« Le jardin, c’est la plus petite parcelle du monde et puis c’est la totalité du monde. Le jardin, c’est, depuis le fond de l’Antiquité, une sorte d’hétérotopie heureuse et universalisante. »
M. Foucault, « Des espaces autres », dans Dits et écrits 1954-1988, vol. IV : 1980-1988, éd. D. Def (...)
Michel Foucault
Dans la continuité du programme Points de liage sur échiquier perforé, Chemin montant dans les hautes herbes s’interroge sur le milieu de vie, et ouvre des espaces de réflexions et d’actions aussi actuelles dans le champ de l’art que dans le débat sociétal.
De la friche au jardin, au cycle des saisons, ce projet invite des artistes, des designers, des commissaires d’expositions, des théoriciens de l’art, des artisans à réfléchir et à créer en collaboration avec des agronomes, des chercheurs, des philosophes, des sociologues, et des botanistes.
Située au cœur du Pays basque, en milieu rural à Hasparren, la Maison Gamboia, aujourd’hui lieu qui accueille les résidences d’artistes portées par l’association la réciproque, met à disposition une parcelle de 1500 m2 pour construire ce projet de jardin expérimental et en mouvement.
Les engagements
Relier les arts et les sciences autour du vivant
— Imaginer des transversalités entre les arts plastiques, les arts vivants, les sciences sociales, les sciences environnementales, la littérature.
— Rassembler autour de convictions communes des expertises qui ne disposent pas d’espace pour partager leurs champs d’étude et de création ;
— Travailler collectivement sur des contenus destinés aux étudiants en écoles d’art, de design, de métiers d’art, d’ingénieurs, agricoles ;
— Aborder les croyances comme des enjeux artistiques, culturels, sociaux et politiques ;
— Formuler des questionnements autour du vivant dans l’histoire des arts et des sciences ;
— Construire des temps de résidence de recherche, création sur des temporalités nécessaires à la compréhension et à l’échange des savoirs et de la pratique artistique.
Œuvrer pour le lien social et l’inclusion
— Intégrer les habitants, les associations qui œuvrent pour les réfugiés et les migrants ;
— Faire se rencontrer autour des préoccupations écologiques, culturelles, sociales ;
— Ouvrir des discussions autour du patrimoine migratoire, avec les habitants, les sociologues, les philosophes, les anthropologues,
les historiens ;
— Créer des repas rituels ouverts aux différents publics, en collaboration avec des artistes et des artisans du territoire ;
— Travailler sur les réflexions des vivants dans une pensée collective et un faire commun.
Huile sur toile, Chemin montant dans les hautes herbes, Auguste Renoir, 1875
Celui-ci a vocation, sur les 3 prochaines années, à créer des interactions innovantes et à questionner la capacité collective de l’art, du design, et de l’artisanat à participer activement au changement social.
Un groupe de recherche pluridisciplinaire sera constitué et amené à travailler collectivement dans le cadre de résidences de recherche, de création et de production en suivant la temporalité du vivant et le cycle des saisons.
À travers un ensemble de rendez-vous - conférences, tables rondes, ateliers pédagogiques, expositions - il s’agit d’intégrer dans ce projet de proximité, les habitants, les publics, les acteurs culturels, pédagogiques et sociaux du territoire.
Expérimenter une forme alternative de pédagogie
— Organiser des ateliers libertaires autour de la culture de la terre, de la préservation de la biodiversité ;
— Créer des contenus reliant les arts, sciences humaines, les sciences sociales, les sciences de la nature, destinés aux écoles ;
— Mettre à disposition des espaces de réflexion et d’action pour les écoles agricoles, les écoles d’art, les école d’ingénieurs ;
— Associer les étudiants en lycée agricole, école d’art, école d’ingénieurs agronome, botanique au projet ;
— Regrouper un collectif de projet qui repense les rapports entre école, laboratoire de recherche, entreprises, associations, et centre d’art.
Le programme est soutenu par la DRAC Nouvelle-Aquitaine dans le cadre du fond d'Innovation Territoriale du Ministère de la Culture.