
Biographie de l'artiste
Ma pratique traverse plus largement la peinture et le dessin dans laquelle se croise étroitement les frontières entre picturalité et approches graphiques. Je cherche par l’usage des mots des associations d’idées que je déploie sous la forme de paysages vifs et mouvants, inspirés de récits reliés à la Terre, aux éléments; des surfaces où fusionnent et se tissent des corps et des formes organiques qui oscillent entre recouvrement et dévoilement.
À ces deux disciplines régulières vient s’ajouter celle de l’écriture, l’écriture par une approche de la forme poétique mais aussi celle d’un langage graphique à investir dans les images.
J'ai été invitée en 2023 par Le Second Jeudi pour le projet éditorial d’un numéro des cahiers de la Villa Madeleine.
Dernièrement j'ai publié deux auto-éditions, l’une est un recueil de poésie et de dessins Continent ovale édité en 2023, l’autre est la parution en 2024 d’une édition limitée, À l’ombre des vies, fragments d’un discours amoureux après la mort, un objet-livre réalisé à partir d’une série de dessins imprimés et d’une partie sérigraphiée en collaboration avec la graphiste et illustratrice Edith Mercier.
Certains de mes textes sont visibles dans des revues littéraires, telles que la revue la Piccioletta Barca ou encore la revue Miroir. Je collabore également avec des maisons d’édition telles que Exopotamie, Cambourakis ou encore Les trois petites truites, par des propositions d’images pour des couvertures de livres de poésie.
Sorgin-orratz bat egongelan
ANNE-LAURE GARICOIX
VERNISSAGE
Dimanche 15 décembre à 15h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
L’association la réciproque poursuit ses rendez-vous à la Maison Gamboia entre des artistes plasticien·nes, des danseur·euses, chorégraphes, commédien·nes et musicien·nes.
Pour cette nouvelle saison, nous invitons l’artiste plasticienne et autrice Anne-Laure Garicoix.
Pour la première fois, l’artiste expérimente une installation dans des espaces domestiques, où se répondent des volumes en céramique, des dessins, des peintures, en partie suspendu·es ou peut-être en lévitation. Tout autant de mondes mouvants de poésie.
Lors d'un premier rendez-vous cet hiver, nous vous invitons à découvrir l’installation Sorgin-orratz bat egongelan en présence de l’artiste, suivi d'une présentation de ses éditions limitées.
Puis au printemps prochain, nous vous donnerons rendez-vous pour une lecture performée; un format inédit auquel se greffera une collaboration avec d’autres artistes.
En partant de ses recherches et du nom de la maison gamboia, signifiant courbe de rivière, Anne-Laure Garicoix convoque "les éléments qui entourent le lieu de vie, l’eau et la terre." L’imaginaire de l’artiste génère "des mythes qui évoquent ce que retienne et abrite les murs d’une maison, les esprits, les fantômes, les transformations, les vies passées et celles en devenir." Par associations d’images et par intérêt pour les multiples sens des mots, est apparue la figure de la libellule.
Sorgin-orratz bat egongelan traduit en français par une libellule dans le salon ou en décortiquant chaque mot l’aiguille de la sorcière dans le salon, est une invitation à traverser des mondes-paysages habités par des couleurs, des silhouettes qui veillent aux fenêtres et dont la lumière arrive presque à percer leurs histoires.
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Anne-Laure Garicoix est artiste plasticienne, diplômée de l'École supérieure des beaux-arts de Nantes, vit et travaille à Bayonne et fait partie des ateliers de la Villa Madeleine, à Boucau. Elle enseigne à l’École Supérieure d’Art Pays-Basque.
www.instagram.com/annelauregaricoix/
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Sorgin-orratz bat egongelan reçoit en partie, le soutien de la Communauté d'Agglomération Pays basque dans le cadre du plan de relance culturel, Berpiztu.

Conception et impression de l'affiche par Édith Mercier;
Soinu beilaldiak I les veillées sonores
urriaren 11, 12, 13an I 11,12,13 octobre
Hazparnen I Hasparren
Ateliers, projections, discussions,
performances, concerts.
Veiller, c’est s’occuper en attendant les luttes, avait écrit Louise Michel. L’état de veille nécessite de ne pas s'endormir ; il faut être à l’écoute, faire circuler les histoires, chercher un langage qui rassemble. Peut-être est-ce aussi l’occasion de préparer l’action, car la veille suggère de ne pas accepter un état de fait, de résister. « Les veillées sonores », portées par l’association la réciproque, réunissent artistes, philosophes, musicien·ne·s, habitant·e·s, étudiant·e·s, afin de faire circuler les savoirs et prendre la parole autour des enjeux d’un territoire transfrontalier, d’un lieu de passage, de circulation, de migration, d’accueil, d’hospitalité et de revendications qui résonnent, à Hasparren comme ailleurs. La voix peut être chuchotée, hurlée, chantée, elle peut être parole d’attente, de mémoire comme d’histoires drôles, s’exprimer en groupe. Les formes de veille seront variées pour tenter de suivre les nuances des voix : ateliers, projections, discussions, performances, concerts.
Programme imaginé par
Sophie Lapalu et Maxime Morel
Les veillées sonores reçoivent les soutiens de la Communauté d'Agglomération Pays basque, du Département des Pyrénées-Atlantiques, et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de la Nouvelle Aquitaine.

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Vendredi 11 octobre I 10h-17h
Atelier d’écriture et d’images
Veillée diurne, refaire le monde
Par le Collectif Bientôt Fini composé de Calypso Debrot, Lucie Schneider, Lucile Genin, Maya Paules, Clémentine Beth.
Cet atelier de réflexion et de création collective invite à prendre part à la fabrication de récits autour de futurs désirables. De l'écriture à la gravure en passant par la photographie, le dessin ou la vidéo, nous créerons des formes poétiques de langage mêlant mots et images.
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Vendredi 11 octobre I 19h-21h
Projection & rencontre
Urpean Lurra - Terre sous l'eau, 2019, 50 min
592 Metroz Goiti - 592 mètres au-dessus, 2018, 24 min
Maddi Barber
Ce diptyque cinématographique aborde un territoire englouti par les eaux sur les versants des Pyrénées, en Navarre. Des rêves, des archives militantes, une bergère et un garde forestier, des animaux et des arbres nous entraînent dans le deuil collectif d'un territoire englouti par les eaux.

Samedi 12 octobre I 10h-13h
Performance participative
Veillée diurne, refaire le monde
Textes à partager, colporter, à crier
Par le Collectif Bientôt Fini composé de Calypso Debrot, Lucie Schneider, Lucile Genin, Maya Paules, Clémentine Beth.
Sur la place du marché, vous êtes invité·es à rejoindre le collectif Bientôt Fini dans une performance collective qui s’appuiera sur les formes imprimées et textes à crier fabriqués lors de l’atelier : billets poétiques, tracts, affiches, lettres, pages de une, cartes postales

Samedi 12 octobre I 10h-17h
Atelier d’écriture et de chant
P)ercer, la nuit
Écriture d'une partition à plusieurs voix et gestes
Par Loreto Martinez Troncoso
Le désir de cet atelier est de créer collectivement une situation d’écoute pour veiller notre nuit. L’artiste propose d’écrire ensemble une partition traversée de différents rythmes et intensités que nous interpréterons avec nos voix, nos souffles, nos corps-peaux durant la nuit.

Samedi 12 octobre I 19h30-20h30
Concert
BAHEZ
Chant & Pandero
Participation libre à partir de 10 euros pour la soirée.
BAHEZ est un collectif de chanteuses et joueuses de pandero, ancrées dans les musiques populaires actuelles héritées du Pays-Basque. Nous vous invitons à danser aux voix et aux percussions de 14 femmes pour faire renaître une tradition qui résonne au plus proche de nous tous.tes.

Samedi 12 octobre I 10h-17h
Atelier d’écriture d’antisèche
et de fabrication de cachettes
Mauvais élève
Par Reda Boussella
En partant de la symbolique de l’anti-sèche, avec humour et ingéniosité, l’artiste vous invite à imaginer et à fabriquer des procédés de dissimulation de textes et de cachettes. Un moyen de partager des savoirs, des messages, et de déjouer la surveillance, le contrôle.
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Samedi 12 octobre I 22h-02h
Performance collective
et scène ouverte
Veiller la nuit
Écoute, récits, sons, chant, lectures
Par Loreto Martinez Troncoso
Interprétation collective de la partition “P)ercer, la nuit” créée durant l’atelier.
Scène ouverte “Veiller, la nuit”, une invitation à venir partager vos lectures, vos musiques, vos histoires, vos récits personnels ou racontés/collectés, vos image-rie-s, vos sensations, vos émotions qui vous évoquent la nuit.
Possibilité de dormir sur place.

Samedi 12 octobre I 18h-19h
Performance
Bertso Saio
Poésie improvisée
Maddi Ane Txoperena Iribarren, Haira Aizpurua Ibargarai, Marga Berra Zubieta
Maddi Ane Txoperena Iribarren et Haira Aizpurua Ibargarai improviseront des bertso, vers chantés, rimés et mesurés en langue basque en répondant à des sujets donnés par la gai-emaile Marga Berra Zubieta. Les thèmes abordés feront écho aux engagements portés par les veillées sonores.

Dimanche 13 octobre I 10h-12h
Petit-déjeuner collectif performé
Mauvais élève
Reda Boussella
L’antisèche est un véritable outil antisystème. La pompe est souvent ingénieuse, burlesque et immorale. Il existe tout un savoir et une transmission, cet aspect pirate est commun à des pratiques résistantes. Venez découvrir les textes dissimulés et les cachettes fabriquées lors de l’atelier de la veille, autour d’un petit-déjeuner performé.

Dimanche 13 octobre I 14h-15h30
Conférence et table ronde
Outrepasser la frontière.
Présentation des recherches de l’artiste Cynthia Montier et du philosophe Jean Cristofol suivie d’une discussion animée par Sophie Lapalu & Maxime Morel
Comment les pratiques et les usages de l'espace ouvrent-elles sur des façons de penser et de vivre autrement les processus de territorialisation ? L’art peut-il s’emparer du droit d’auteur.ice, fondé par un état délimité par les frontières, afin d’assurer la présence de l'artiste en exil sur le sol français ?
Dimanche 13 octobre I 16h-17h30
Table ronde
Pratiques artistiques et engagements
Avec les artistes invité·es :
Collectif bientôt fini (Calypso Debrot, Lucile Genin, Clémentine Beth, Lucie Schneider, Maya Paules) Loreto Martinez Troncoso, Reda Boussella,
animée par Sophie Lapalu & Maxime Morel
Dimanche 13 octobre I 18h-19h30
Projection
Moi aussi j’aime la politique, 2022, 58 min
Un film de Marie Voignier, réalisé dans le cadre d’une action Nouveaux commanditaires (médiation-production thankyouforcoming)
Un groupe de citoyen·nes qui mènent des actions d’accueil des exilé·es passant la frontière franco-italienne dans la Vallée de la Roya, ont invité l’artiste Marie Voignier à penser un film qui se saisisse des notions d’accueil et d’hospitalité. D’un témoignage à l’autre, se dessine un film sur le mouvement, la géographie, et sur ce qui nous meut intérieurement.



Performance
Bertso Saio
Poésie improvisée
Par Maddi Ane Txoperena Iribarren, Haira Aizpurua Ibargarai, Marga Berra Zubieta
Concert
Bahez
Chant & Pandero
Performance collective
et scène ouverte
Veiller la nuit
Écoute, récits, sons, chant, lectures
Par Loreto Martinez Troncoso
Atelier d'écriture et d'images
Veillée diurne, refaire le monde
Par le Collectif Bientôt Fini composé de Calypso Debrot, Lucie Schneider, Lucile Genin, Maya Paules, Clémentine Beth.
Protocole d’introduction de l’atelier
Veillée diurne, refaire le monde
Par le Collectif Bientôt Fini
Point de départ : L’année 2024 fut celle d’un grand effondrement systémique mondial. Le vivant dans sa quasi-totalité fut impacté, en particulier les insectes, oiseaux et animaux marins qui disparurent pour la plupart. L’effondrement des puits de carbone, c’est-à-dire la possibilité qu’ont les forêts et les océans etc…de capter le CO2... a accentué d’autant plus le réchauffement climatique, la sécheresse et la montée des eaux.L’agriculture en perdition, la raréfaction des ressources en eau et les migrations titanesques ont contribué à déséquilibrer complètement les structures politiques et sociales. La combinaison des conflits géopolitiques et de la diminution drastique des ressources vitales font chuter la population mondiale. Aujourd’hui, nous sommes en 2034, 10 ans après ce basculement, où en sommes-nous ? qui sommes-nous ? que faisons nous ? collectivement et individuellement.
Après quelques discussions :On découvre un écosystème foisonnant sain et sauf : tourbière, insectes, oiseaux et même une source ! Cet environnement semble avoir a été résilient et semble avoir absorbé les effets de la catastrophe. Nous n’avons pas les capacités de savoir pourquoi ça a résisté et comment. Est-ce qu’on décide de partager l’info ? De le montrer à d’autres et à qui ? Si on cible a qui on montre, comment fait-on pour que seul ces personnes aient l’information ? De l’analyser ou pas ? Si on décide de passer l’info : quels sont nos moyens de communiquer (des anciens, qui existent toujours, qu’on a réactivé, ou des nouveaux que l’on crée de toute pièce).Si on a besoin d’espace de discussion pour en parler, comment s’organise-t-on pour se réunir ? Et comment fait-on pour que l’information passe, et passe aux personnes ciblées, au sujet de cette réunion ? Comment nos langages (mots, images) deviennent nos outils les plus affutés et précieux dans toute cette histoire ? Comment on fait pour raconter au mieux cet écosystème ?









Atelier plastique et performance
Atelier d’écriture d’antisèche et de fabrication de cachettes
Petit-déjeuner collectif performé
Mauvais élève
Par Reda Boussella



Conférence et table ronde
Outrepasser la frontière.
Présentation des recherches de l’artiste Cynthia Montier et du philosophe Jean Cristofol suivie d’une discussion animée par Sophie Lapalu & Maxime Morel



Projections & rencontres
Moi aussi j’aime la politique de Marie Voignier,
Urpean Lurra - Terre sous l'eau, et Metroz Goiti - 592 mètres au-dessus de Maddi Barber.



Atelier Fanzine
Par les étudiant.e.s en première année de classe préparatoire, École Supérieure Pays basque.
Á la Station V, espace d'exposition à Bayonne.
Jeudi 5 décembre 2025.
Durant les trois jours des Veillées Sonores, des étudiant.e.s de la classe préparatoire design et du Dna de l'École Supiérieure d'Art Pays basque, se sont succédé.e.s pour observer les récitations, participer aux ateliers, écouter, chanter, peindre, dessiner, écrire, photographier, s’ennuyer, s’endormir et improviser des poèmes autour du feu à la Maison Gamboia. De cette expérience, des formes sont nées, des images peintes et dessinées, des mots collectés, cartographiés, recomposés. Á partir de ces matériaux, nous procèderons jeudi 5 décembre à un atelier d’accrochage à la Station V, suivi d’un moment d’échange à partir de 18 heures. On pourra y apercevoir des squelettes dansants, on y retrouvera des restes de feux, on y entendra des échos de cristal, des bruits bizarres, il y aura aussi des souvenirs de vaches, de vautours, de pâquerettes, de ciel. Texte Maxime Morel.







Petit théâtre II, Raphaël Larre, 2023
Raphaël Larre dessine, peint des formes aléatoires de jeu de rencontres hasardeuses.
Son travail consiste à se réapproprier des chutes de papiers, cartons, boites qu’il assemble entre-elles. Tantôt par le volume et/ou tantôt par la peinture, ces compositions se rapprochent du collage dadaïste, comme celui de Jean Arp, qualifié « selon les lois du hasard ».
L’artiste imagine pour les espaces de nuit de la maison, une série de peintures qui joue une composition de formes qu’il détourne et qu’il recompose. Pour les espaces de vie commune, il utilise des chutes de cartons qui laissent deviner les gestes de peinture s’accoudant contre un mur. Tel un décor qui accueille un petit théâtre, point de départ de la scène de jeu.
Les chutes de carton seront imaginées à échelle humaine et du lieu, de façon à faire vivre ces jeux de formes. Prenant en compte l’espace domestique de la Maison Gamboia : ouvertures et fermetures des volets, rez-de-chaussée et étages, couloirs et chambres, répétitions de gestes quotidiens, ces formes simples seront activées dans un rythme et une chorégraphie pensée collectivement. De façon bricolée, burlesque, abstraite et à l’image du Ballet Triadique d’Oskar Schlemmer et Hannes Winkler ou encore de la pièce Das mechanische Ballet de Frio Mundo Frio, la Maison Gamboia sera un terrain de jeu pour donner vie à leur travail par le corps, le geste et le son.
Extrait de texte, Raphaël Larre.
L’association la réciproque poursuit ses rendez-vous à la Maison Gamboia entre des artistes plasticien·nes, des danseur·euses, chorégraphes, commédien·nes et musicien·nes.
Dans le prolongement de l'installation Scènes de jeu de l'artiste plasticien Raphaël Larre dans les espaces de la maison, nous invitons l’artiste chorégraphique Arantxa Lannes, et le musicien et compositeur Ander Fernandez à travailler ensemble autour du mouvement et des sonorités.
Nous vous invitons à découvrir la restitution de leur travail d'expérimentation,
le samedi 27 juillet à 16h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
Nous vous accueillerons à partir de 15h30.
La représentation sera suivie d’une rencontre avec les artistes.
Scènes de jeu a reçu le soutien de la Communauté d'Agglomération Pays basque dans le cadre du plan de relance Culture, Berpiztu et de la Maison Gamboia.
Installation Scènes de jeu de Raphaël Larre au sein des espaces de la Maison Gamboia.









Extraits des 3 jours de recherche et d’expérimentation collectives autour des formes, de peintures
et des poèmes écrits par Raphaël Larre.
Lectures improvisées des poèmes par Arantxa Lannes et Ander Fernandez ;
Sons, musique, composition par Ander Fernandez ;
Performance par Arantxa Lannes.









Restitution des 3 jours de travail. Vidéo réalisée par Léon Lachamp.
Extraits de la restitution à la Maison Gamboia.






RUN workshop
Atelier botanique
Petit coussin
avec Susan Cianciolo
Artiste et designer
Composition de chutes de tissus
Impression de fleurs fraîches au pochoir
Garnissage aux herbes sèches
Méditation & déjeuner sur l'herbe.
le jeudi 11 juillet
de 12h30 à 16h
à la Maison Gamboia
50 rue Pierre Broussain
64240 Hasparren
30 euros, déjeuner et matériels compris.
Sur réservation, places limitées.
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Depuis vingt ans, Susan Cianciolo évolue entre les pratiques et les formes – de la mode à l’artisanat, de la performance au cinéma.
Pionnière dans l'utilisation de matériaux glanés, elle crée une œuvre qui échappe volontairement à toute catégorisation, exploitant les fausses dichotomies entre construction et déconstruction, art et design, événement et document.
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Invitation RUN workshop, Susan Cianciolo, 2024.








